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Jamais sans mon Prozac
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5 novembre 2006

Seizième pastille, boules et guirlandes

J’aime l’humanité, surtout en plein désert ! Il fait froid et la nuit tombe à 18h. Noël n’est plus qu’à un patin de traîneau, sale temps pour un dépressif de base. Ami des idées noires vivant dans la zone dite civilisée de l’hémisphère nord il est temps de récolter la Marie-Jeanne que patiemment tout l’été tu as pris soins de faire pousser et de compléter ton traitement par un bon tarpé. Le premier qui me dénonce à Sarkozy aura mon internement à jamais sur la conscience, pire, je le condamne à se déguiser en père noël pour le goûter des enfants de la boîte. Comme le commandant Cousteau je porte un bonnet rouge ridicule. Non, bien sûr que non ! Je ne porte pas de bonnet du tout ! Précision faite, donc, comme le commandant Cousteau, je trouve que la surpopulation est un problème majeur de l’espèce humaine, c’est ainsi que je suis contre le traitement des dépressifs suicidaires. Dans le même esprit, je suis contre la fête de Noël et tout autre commémoration d’une quelconque nativité. Ne faite plus de gosses, même si le pére s'appelle dieu. Avez-vous remarqué qu’on ne trouve pas de panoplie de Père Noël dans les sex-shops, pourtant je connais des dépressifs qui apprécient de se faire sodomiser par le père fouetard déguisés en petit papa Noël avec Tino Rossi en fond sonore. O catalinetta bella ! Tchi-tchi. Donc pour passer l’hiver tranquille, neuroleptiques en vente libre chez votre pharmacien, vin rouge, évitez le blanc ou le pétillant ils se marient trop bien avec les cotillons, beuh au tant que tu veux et psychalyste si ça te dit. Amis du Divin Divan au revoir.
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