Neuvième pastille, Krack, Boum, Pschiiiiit

Mieux vaut un dépressif conscient, qu’une schizo qui refoule.

J’avais écrit un texte très nul sur le pourquoi le comment de ma convocation à la DRH, sur mon entretien avec Stéphanie blonde de trente ans manager en ressource humaine, et comment je m’étais provisoirement sauvé d’un licenciement en débusquant que la susnommée et surdiplômée Stéphanie sucée du lithium comme tout bon schizo qui se respecte.
Je sais c’est lamentable, mais le lithium ça fait tache quand on est DRH.

Que fait tout bon maniacodépressif qui est en position dominante dans le bureau d’une femme dont le bronzage UV laisse penser qu’elle pratique aussi l’épilation intégrale comme prévue dans son abonnement annuel au salon d’esthétique ?
1° il la baise.
2° il chiale
3° Il prend un cacheton et retourne dans son bureau appeler son thérapeute sur son portable.
Et bien pas moi ! Moi je retourne dans mon cagibi finir mon pot de nutela familial à la cueillere à soupe, car ça va plus vite. Pourquoi ?
Castration chimique ? Non! ça c’est du pipeau, une demi-mole n’est pas une excuse, ça rentre.
Refus définitif de la sodomie? Non!
Moquette trop dure ? Peur des MST ? Non et non!

Enfin! voyons! On ne nique jamais une schizo quand on est maniacodépressif, car on ne se débarrasse jamais d’une schizo. Encore moins quand elle a pris son pied et ce n’est jamais à exclure, un miracle peut arrivé.

Ami du divin divan au revoir.