vingt-cinquième pastille, sodomie et Grace Kelly

Grace Kelly était une princesse et on n’encule pas les princesses. Ça peut vous paraître bizarre, mais c'est contre l'étiquette. - ton étiquette, tu sais où on se la fout, et bien profond en plus. On vit une époque délurée où la psychanalyse est en vente libre, où la thérapie de couple est la solution pour un mariage équilibré, avec l'abstinence bien sûr. Ah, l'équilibre du couple, c'est un truc super difficile à obtenir, car il ne faut jamais oublié que les mecs sont par nature bancals, la preuve, ils ont toujours une couille qui pend plus que l'autre. - Et man c'est ta pastille qui part en quenelle! Sociologiquement, la sodomie progresse aussi vite que la consommation d'antidépresseurs, deux bonnes nouvelles dans la même phrase. Grace Kelly, une vraie princesse, a toujours refusé la sodomie à Rainier. Le prince qui lui, diront les mauvaises langues, ne crachait pas sur un petit doigt dans le cul au moment de jouir. Question d'étiquette. Grace Kelly est morte en 1982 soit dix ans après l'invention du Prozac. L'étiquette autorise la prise et même l'abus de Prozac, heureusement pour Princesse Grace, car elle, la sodomie, elle adorait. Au nom de saint Zoloft, des crus bourgeois et du père Prozac, ami du divin divan, au revoir.